FLAG! intensifiera ses actions de sensibilisation dans les services de la gendarmerie, de la police et des préfectures du ministère de l’intérieur du 14 au 17 mai 2019 à l’occasion du 17 mai, Journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie (IDAHOT : International Day Against Homophobia & Transphobia).
Marlène SCHIAPPA, Ministre déléguée auprès du Ministre de l'Intérieur, remet de prix "Coup de coeur" à l'application mobile FLAG! lors de la cérémonie de valorisation de l'action des forces de sécurité intérieure, un an après le lancement du Grenelle des violences conjugales.
Est-il possible, en 2018, de vivre son homosexualité quand on est policier ou gendarme? Si la question de la vie privée ne regarde que les personnes concernées, être gay quand on incarne au quotidien une autorité publique renvoie dans l’imaginaire collectif l’image d’une supposée virilité. Rencontre.
Eric KRUST, Commissaire divisionnaire, Chef d'Etat Major de la Direction Départementale de Sécurité Publique de la Gironde (DDSP33)
Le ministère de l’intérieur s’était engagé lors de nos dernières assemblées générales à entreprendre toutes les démarches nécessaires pour obtenir le label diversité et égalité. . A travers notre demande, il s’agissait pour notre association de promouvoir des actions de promotion de l’égalité et de diversité au sein du ministère de l’intérieur mais également développer […]
Conformément aux annonces réalisées lors de notre dernière assemblée générale, FLAG! souhaite mettre en place du bénévolat (ponctuel ou plus long dans le temps) afin de renforcer son action sur l’ensemble du territoire car en région aussi il y a des besoins.
Le bénévolat peut se faire sous pseudonyme pour ceux qui ne souhaitent pas être visible mais malgré tout aider l'association.
FLAG! continue son tour des régions dans le cadre de la journée nationale contre le sida le 1er décembre.
A l'occasion de l'édition 2019 de la Journée mondiale contre l'homophobie et la transphobie, la Fondation Louis Lépine de la Préfecture de Police de Paris se mobilise en partenariat avec FLAG! et l'association SOS-Homophobie.
Le Refuge Bouches-du-Rhône organisait une permanence spéciale « Police, prévention, sécurité, plaintes et agressions, comment gérer ? que faire ? » 👮🏻♂️👮♀️🏳️🌈💪
Les associations Mousse, Stop Homophobie, ELCS, Adheos, FLAG! et Familles LGBT demandent officiellement à la ministre des Armées et au ministre de l’Intérieur de mettre un terme aux exclusions des personnes vivant avec le VIH de la police, de la gendarmerie, de l’armée et des pompiers !
Les associations FLAG!, Mousse et STOP homophobie ont de nouveau décidé de déposer plainte, ce jour, auprès du Procureur de la République.
FLAG! saisit l'IGPN et l'IGGN.
L'application FLAG! prend maintenant en compte les discriminations croisées.
Dans un groupe Facebook privé, réservé aux forces de l’ordre et qui compte plus de 8000 membres, des policiers et gendarmes s’échangeraient de nombreux messages à caractère sexiste et homophobe, pouvant aller jusqu’à l’« appel au meurtre », selon un article publié hier dans le journal StreetPress, qui a infiltré ce groupe.
Soucieux depuis de nombreuses années de restaurer la confiance entre le public LGBT+ et les services de police et de gendarmerie, FLAG! milite depuis 2013 pour la création d’un service dédié à l’accueil des victimes LGBT+ ou d’officier de liaison LGBT dans les grandes métropoles.
Le 11 février prochain, à Lyon, FLAG!, représenté par son président Johan CAVIROT, fera partie des signataires de la convention de lutte contre les LGBTphobies initiée par la préfecture de la région Auvergne-Rhône Alpes, aux côtés de représentants de l’État et des collectivités territoriales ainsi que de trois autres associations (Centre LGBTI+ de Lyon, SOS homophobie et le Forum gay et lesbien de Lyon).
Nous, associations et militant·e·s, dénonçons les discriminations commises ouvertement par l’État français à l’encontre des personnes vivant avec le VIH (PVVIH). Actuellement, les PVVIH sont exclues du recrutement ou renvoyées de la police, de la gendarmerie, de l’armée et des pompiers si l'État apprend leur statut sérologique, et cela même si ces personnes sont traitées et qu’elles ont une charge virale indétectable. Il s'agit d'une discrimination à raison de leur état de santé, totalement inacceptable !